Terrasse : Diaporama Midi-Libre, En image sur les pas du peintre Bazille dans le secret du domaine de Méric / Prairie : Photo Peter Weinmann /
Bords du Lez : Diaporama Midi-Libre, En image sur les pas du peintre Bazille dans le secret du domaine de Méric / Coquelicots : Photo Martine Rossignol /
Site en construction
AADM
L’Association des Amis du Domaine de Méric (AADM) est une association loi 1901, créée en 2016 qui se donne pour objectif d’œuvrer à la sauvegarde et la mise en valeur du domaine de Méric à Montpellier.
Ce domaine est un lieu emblématique de la ville : quartier général lors du siège de Montpellier par Louis XIII en 1622, ancienne propriété agricole des familles Vialars et Bazille, et lieu d’inspiration du peintre Frédéric Bazille.
L’AADM mène des actions en faveur d’une fréquentation respectueuse du site, pour une gestion durable de la biodiversité en milieu urbain, pour la propreté du site, pour la sensibilisation du public à ses richesses artistiques, botaniques et zoologiques, pour la création d’un espace patrimonial et une salle de conférence dans le mas.
L’AADM organise régulièrement des concours de peinture ou de photographie, et participe à l’organisation des visites lors des Journées européennes du Patrimoine.
Promeneurs, visiteurs, riverains,
amoureux de l’art et de la nature :
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Fédéric Bazille et les Paysages du Lez

Frédéric Bazille et les Paysages du Lez
Frédéric Bazille a représenté la vallée du Lez dans une quinzaine d’œuvres (dont neuf tableaux principaux). Cela représente le chiffre non négligeable de 23 à 30 % du total de ses œuvres (estimé à 50 à 60 tableaux). Les études de l’œuvre de F. Bazille sous l’angle de l’Histoire de l’Art sont nombreuses. Mais peu d’entre elles se sont confrontées à les rapporter à la réalité paysagère et sociale de la vallée du Lez sous le second Empire. Etait-ce une vision traditionnelle, passéiste ou, au contraire moderne ? Et de quelle modernité parle-t-on ? Une vision naturaliste ? Une nature idéalisée ou réaliste ? Une nature créée avec de nouvelles espèces végétales et selon de nouveaux enjeux économiques ou ostentatoires ? Tout ceci sachant que ces œuvres ne portent que sur les deux domaines familiaux de Méric et de Saint-Sauveur (Lattes) : jusqu’à quel point était-ce la représentation de la vision et des valeurs d’une bourgeoisie provinciale de l’époque ? Mais n’est-ce pas, aussi, la naissance d’un nouveau « Midi » iconographique ? Que reste-t-il aujourd’hui des paysages de F. Bazille, ou de l’évocation de ceux-ci ?